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Combien de temps l’alcool reste dans le corps ?

16 - 18 min
Santé & foie
Image de l'article Combien de temps l’alcool reste dans le corps ?

Combien de temps l’alcool reste-t-il dans le corps ? C’est une question que beaucoup se posent après une soirée arrosée, en vue d’un test d’alcoolémie, ou simplement pour mieux comprendre les effets de l’alcool sur leur santé. Pourtant, peu de gens ont une réponse claire. Entre les croyances populaires, les différences d’organisme et les délais d’élimination, difficile d’y voir clair.

Dans cet article, nous allons vous expliquer en détail combien de temps l’alcool reste dans l’organisme, selon différents facteurs : quantité consommée, sexe, poids, métabolisme, etc. Nous aborderons aussi les risques liés à cette présence prolongée, notamment sur la conduite ou le sommeil. Mais au-delà des chiffres, cette question en cache souvent une autre : suis-je en contrôle de ma consommation d’alcool ? Si ce n’est pas le cas, que faire ? L’alcool peut rester quelques heures dans le corps… mais ses conséquences, elles, peuvent durer beaucoup plus longtemps. C’est là que comprendre le fonctionnement de l’élimination devient crucial. Et que des outils comme Option Zéro peuvent changer la donne.

Accrochez-vous, car ce qui suit pourrait bien remettre en question vos habitudes et vous donner des clés pour reprendre le pouvoir sur votre santé.

Représentation du cœur humain avec un tracé d'électrocardiogramme coloré.

Le parcours de l’alcool dans le corps humain

Avant de pouvoir répondre à la question "combien de temps l’alcool reste-t-il dans le corps", il faut d’abord comprendre comment l’alcool circule à l’intérieur de nous. Le processus d’absorption, de diffusion et d’élimination est bien plus complexe qu’on ne l’imagine. Il commence dès la première gorgée et peut durer plusieurs heures.

1.1 L’absorption : un processus rapide

Contrairement aux aliments solides, l’alcool ne nécessite pas de digestion. Il est absorbé très rapidement par les muqueuses de la bouche, l’œsophage et surtout l’estomac. Environ 20% de l’alcool passe directement dans le sang par l’estomac, et les 80% restants sont absorbés par l’intestin grêle.

💡 À jeun, l’alcool atteint son pic de concentration sanguine (alcoolémie) en 30 minutes à 1 heure. Si l’estomac est plein, cette absorption est ralentie — mais pas stoppée. Ce facteur influence déjà la durée de présence de l’alcool dans l’organisme.

1.2 La distribution : l’alcool atteint tous les organes

Une fois dans le sang, l’éthanol est transporté dans tout le corps : cerveau, foie, reins, muscles, tissus graisseux… C’est ce qui explique les effets diffus de l’alcool : euphorie, désinhibition, troubles moteurs, somnolence, etc.

Les femmes, en général, ont une concentration sanguine plus élevée que les hommes à quantité égale. Pourquoi ? Moins de masse hydrique dans le corps, et moins d’enzymes dégradant l’alcool dans l’estomac.

1.3 Le métabolisme : l’éthanol est principalement éliminé par le foie

Le foie joue un rôle central. Il dégrade environ 90 à 95 % de l’alcool via deux enzymes : l’alcool déshydrogénase (ADH) et l’aldéhyde déshydrogénase (ALDH). Ce processus transforme l’éthanol en acétaldéhyde (hautement toxique), puis en acétate, pour finir en dioxyde de carbone et en eau.

Le foie ne peut traiter qu’une quantité limitée par heure, environ 0,10 à 0,15 g d’alcool pur par litre de sang. Ce qui signifie que peu importe combien vous avez bu, il n’y a pas de raccourci pour accélérer ce traitement.

Exemple : une pinte de bière (25 cl à 5%) contient environ 10g d’alcool pur. Il faudra donc entre 1h30 et 2h pour l’éliminer.

1.4 L’élimination : urine, sueur, respiration

Le reste de l’alcool (environ 5 à 10 %) est éliminé par des voies secondaires :

  • Les poumons : par l’air expiré — c’est ce que mesurent les éthylotests.

  • Les reins : via l’urine.

  • Les glandes sudoripares : par la transpiration.

💡 Contrairement aux idées reçues, boire un café, prendre une douche froide ou faire du sport n’accélère pas significativement l’élimination de l’alcool. Ces astuces peuvent vous réveiller, mais pas "désaouler".

1.5 Durée moyenne de présence de l’alcool

La demi-vie de l’éthanol dans le corps est d’environ 4 à 5 heures. Mais attention, cela varie grandement d’une personne à l’autre. Les délais dépendent :

  • Du sexe

  • Du poids

  • De l’âge

  • De l’état de santé du foie

  • Du niveau d’hydratation

  • De la vitesse de consommation

En moyenne, le corps élimine un verre standard d’alcool (10g) en 1h30. Donc après 5 verres, il faudra compter au minimum 7 heures pour retrouver une alcoolémie nulle.

Mais ce chiffre peut monter jusqu’à 10 ou 12 heures en fonction de la tolérance et de la condition physique de la personne. Et contrairement à ce qu’on croit, on n’est pas forcément "sobre" après une nuit de sommeil.

1.6 L’alcool dans les tests : sang, urine, salive

Enfin, il est important de comprendre que l’alcool peut rester détectable dans le corps bien après les effets visibles :

  • Dans le sang : jusqu’à 6 à 12 heures après la consommation.

  • Dans l’urine : jusqu’à 24 heures, voire 72 heures pour certains métabolites.

  • Dans la salive : 12 à 24 heures.

  • Dans les cheveux : plusieurs mois (pour détecter une consommation chronique).

👉 Ces durées sont cruciales à connaître si vous êtes susceptible de passer un test : au travail, sur la route, ou même dans un cadre médical.

1.7 Un risque souvent sous-estimé

Beaucoup de personnes surestiment leur capacité à "récupérer" rapidement après une soirée. Le problème, c’est que les effets cognitifs de l’alcool (baisse d’attention, fatigue, lenteur) peuvent persister bien après que l’alcoolémie soit revenue à zéro.

Conclusion de cette partie : comprendre le trajet de l’alcool dans le corps permet de mieux anticiper ses effets, et donc de prendre des décisions plus responsables — pour soi et pour les autres.

Tubes à essai remplis de liquide rouge dans un laboratoire, avec un manomètre en arrière-plan.

Combien de temps l’alcool reste-t-il dans le corps selon les tests médicaux ?

Une chose est de ressentir les effets de l’alcool. Une autre est de savoir pendant combien de temps il peut être détecté par des tests biologiques. Et là, les surprises sont nombreuses. Car même si vous pensez avoir "dessoulé", des traces peuvent persister bien après la disparition des symptômes. Cette partie vous donne une vue d’ensemble des tests médicaux et de leur capacité à repérer la consommation d’alcool dans votre organisme.

2.1 Le test sanguin : fiable mais limité dans le temps

Le test sanguin mesure le taux d’alcool dans le sang, appelé alcoolémie. Il est généralement exprimé en grammes par litre (g/L). En France, la limite légale pour conduire est de 0,5 g/L, soit environ 2 verres standards pour un homme de corpulence moyenne.

Durée de détection :

  • Alcool pur : jusqu’à 6 à 12 heures après la dernière consommation.

  • Métabolites secondaires : jusqu’à 24 heures dans certains cas.

💡 Plus vous avez bu, plus la détection est longue. Un binge drinking (plus de 5 verres en une soirée) peut laisser des traces pendant plus de 24 heures.

2.2 Le test urinaire : très utilisé en entreprise et dans le médical

Les tests urinaires sont pratiques, non-invasifs et économiques. Ils ne détectent pas l’alcool pur, mais ses métabolites, comme l’éthyl glucuronide (EtG) et l’éthyl sulfate (EtS). Ces substances sont des marqueurs spécifiques de la consommation d’alcool.

Durée de détection :

  • Alcool : 12 à 24 heures.

  • EtG : jusqu’à 80 heures après la dernière consommation.

  • EtS : jusqu’à 24 à 48 heures.

⚠️ Ces tests sont très sensibles. Ils peuvent détecter même une consommation modérée, comme un simple verre de vin.

2.3 La salive : simple, rapide, mais à courte portée

Le test salivaire est utilisé dans les contrôles routiers ou en milieu professionnel. Il détecte l’éthanol dans la salive, présent tant que l’alcoolémie est significative.

Durée de détection :

  • Entre 6 et 12 heures après la dernière prise.

Test salivaire pour drogues à côté d'une voiture verte.

Avantage : il est immédiat et peut donner un résultat sur place.

Inconvénient : moins fiable en cas de consommation ancienne, car l’éthanol disparaît vite de la salive.

2.4 Les cheveux : le test pour identifier les consommations chroniques

Si vous pensiez être tranquille après une semaine d’abstinence, attention : les tests capillaires trahissent les buveurs réguliers. Ils ne sont pas utilisés pour mesurer une soirée, mais pour repérer une consommation répétée.

Durée de détection :

  • Jusqu’à 3 mois par centimètre de cheveu.

Exemple : une mèche de 3 cm permet de retracer les 3 derniers mois.

💡 C’est souvent ce test qui est demandé dans des contextes judiciaires (garde d’enfant, suspension de permis, etc.)

2.5 Quelle fiabilité pour ces tests ?

Tous les tests n’ont pas la même fiabilité. Leur interprétation dépend aussi du contexte, du laboratoire et de la rigueur de prélèvement.

  • Le test sanguin reste le plus précis pour mesurer l’alcoolémie à un instant T.

  • L’urine permet de repérer une consommation passée mais pas nécessairement actuelle.

  • Les cheveux donnent une vue d’ensemble sur plusieurs mois.

📌 Attention : l’alcool reste détectable plus longtemps chez les personnes âgées, malades, ou souffrant de problèmes hépatiques.

2.6 Tests et conséquences juridiques

En France, conduire avec une alcoolémie supérieure à 0,5 g/L est sanctionné (article R234-1 du Code de la route) :

  • Amende pouvant aller jusqu’à 4 500€

  • Retrait de points (6 points)

  • Suspension ou annulation de permis

Pour les conducteurs en permis probatoire, la limite est encore plus basse : 0,2 g/L.

Les tests biologiques ont donc un impact direct sur votre vie quotidienne : emploi, permis, assurance, image sociale.

Quelques chiffres clés

0,5 g/L

Seuil légal d’alcoolémie en France pour conduire

80 h

Durée maximale de détection de l’alcool via l’urine (EtG)

3 mois

Durée maximale de détection dans les cheveux selon la longueur

Conclusion de cette partie : si les effets de l’alcool s’estompent en quelques heures, sa trace peut rester dans votre corps pendant plusieurs jours, voire plusieurs mois. Mieux vaut le savoir avant de faire des choix à risque.

Ce qui influence la durée de présence de l’alcool dans l’organisme

Pourquoi deux personnes buvant la même quantité d’alcool n’ont-elles pas les mêmes effets ? Pourquoi l’un semble sobre après deux heures, et l’autre encore ralenti au petit matin ? La réponse se trouve dans une combinaison de facteurs internes (physiologiques) et externes (environnement, habitudes). Comprendre ces différences vous aidera à anticiper les effets de l’alcool sur votre corps.

3.1 Le sexe, un facteur biologique essentiel

Les femmes éliminent l’alcool plus lentement que les hommes, à quantité équivalente. Cette différence s’explique par :

  • Une masse hydrique plus faible : l’alcool se dilue moins, ce qui augmente l’alcoolémie.

  • Moins d’enzymes dégradantes (ADH) dans l’estomac : plus d’alcool passe dans le sang.

  • Des variations hormonales qui peuvent ralentir l’élimination, notamment pendant les règles ou sous contraception hormonale.

⚠️ Résultat : une femme peut avoir jusqu’à 30% d’alcoolémie en plus qu’un homme à consommation égale. D’où l’importance de ne pas "copier" les autres lors d’une soirée.

3.2 Le poids et la masse corporelle

Plus une personne pèse lourd, plus elle contient d’eau corporelle. Or, l’alcool se dilue dans l’eau, pas dans la graisse. Cela signifie que :

  • Les personnes plus corpulentes ont en général une alcoolémie plus basse à dose égale.

  • Les personnes minces (notamment avec peu de masse musculaire) ressentent plus rapidement les effets.

💡 Ce facteur joue un rôle énorme : 3 verres pour un homme de 90 kg n’auront pas le même effet que pour une femme de 55 kg.

3.3 L’âge et la santé du foie

Le foie est le centre de traitement de l’alcool. Avec l’âge, ou en cas de maladie hépatique (hépatite, cirrhose, etc.), sa capacité d’élimination diminue.

  • Chez les personnes âgées, l’élimination est souvent plus lente. La vigilance doit être renforcée.

  • Chez les jeunes, le foie est plus performant, mais cela ne veut pas dire invincible : un abus régulier le fragilise à long terme.

Consommation d'alcool et effet sur le foie, avant et après consommation.

⚠️ En cas de pathologies hépatiques, la durée de présence de l’alcool peut être doublée ou triplée, avec des effets toxiques bien plus dangereux.

3.4 L’alimentation : estomac vide, danger accru

Un des facteurs les plus souvent ignorés est l’alimentation. Boire à jeun, c’est comme injecter directement l’alcool dans le système.

  • Un repas gras ralentit l’absorption (mais ne l’annule pas).

  • Un estomac vide permet à l’alcool d’atteindre très vite la circulation sanguine.

💡 Résultat : on atteint plus rapidement le pic d’alcoolémie, et les effets sont plus intenses. Ce qui peut fausser notre perception et pousser à boire davantage…

3.5 L’état émotionnel, le stress et la fatigue

Le corps ne réagit pas de la même façon à l’alcool selon l’état psychologique dans lequel on se trouve :

  • Le stress peut amplifier les effets de l’alcool sur le rythme cardiaque et la tension.

  • La fatigue augmente la somnolence provoquée par l’alcool, même à faible dose.

  • La dépression ou l’anxiété peuvent altérer le jugement, favorisant une consommation excessive.

⚠️ Une consommation dans un contexte émotionnel fragilisé est plus à risque, et plus difficile à maîtriser.

3.6 Le métabolisme et les antécédents génétiques

Enfin, certaines personnes possèdent un métabolisme plus rapide ou plus lent pour éliminer l’alcool. Cela dépend :

  • Du patrimoine génétique (certaines populations asiatiques ont un déficit en ALDH, provoquant des réactions violentes à l’alcool).

  • De l’habitude de consommation : un buveur régulier développe une tolérance, ce qui retarde les effets mais pas l’élimination.

💡 Important : tolérance ne signifie pas sécurité. On peut ne pas "sentir" l’alcool, tout en ayant une alcoolémie élevée.

Conclusion de cette partie : la durée de présence de l’alcool dans le corps est extrêmement variable d’un individu à l’autre. Savoir repérer ses propres limites est essentiel pour éviter les pièges d’une consommation mal contrôlée.

Pourquoi cette durée d’élimination pose un vrai problème de santé publique ?

Ce n’est pas juste une question de chiffres ou de temps. Le fait que l’alcool reste longtemps dans le corps engendre de réels risques sanitaires, sociaux et légaux. Trop souvent sous-estimés, ces effets prolongés sont pourtant au cœur de nombreuses problématiques de santé publique.

4.1 La conduite sous emprise : un danger majeur

En France, l’alcool est la première cause d’accidents mortels sur la route, représentant près de 30% des décès routiers selon la Sécurité Routière. Or, beaucoup de conducteurs reprennent le volant en pensant être sobres, alors que leur alcoolémie est encore positive ou que leurs réflexes sont toujours ralentis.

Voitures accidentées avec airbags déployés après une collision.

💡 Un verre d’alcool met en moyenne 1h30 à 2h à s’éliminer. Une soirée avec 5 verres vous laisse vulnérable jusqu’à 10 heures après… Autrement dit, vous pouvez encore être positif le lendemain matin sur la route du travail.

Et ce n’est pas seulement une question de test positif. Les effets cognitifs de l’alcool persistent : baisse d’attention, troubles de la coordination, perte de vigilance.

  • 0,5 g/L : le champ visuel se réduit de 20%.

  • 0,8 g/L : les réflexes sont 4 fois plus lents.

⚠️ Même si vous vous sentez "en forme", l’alcool reste actif dans votre système nerveux central.

4.2 Les effets sur le sommeil et la santé mentale

Vous pensez que l’alcool aide à dormir ? C’est une idée reçue. Certes, il provoque une somnolence rapide, mais il détériore considérablement la qualité du sommeil :

  • Fragmentation du sommeil : plus de réveils nocturnes.

  • Réduction du sommeil paradoxal : moins de récupération cognitive.

  • Rebond anxieux au réveil : stress, fatigue nerveuse, humeur dépressive.

Selon l’INSERM, l’alcool multiplie par 2 à 3 le risque de troubles du sommeil chroniques. Et ces troubles favorisent à leur tour… la consommation d’alcool, dans un cercle vicieux.

4.3 Des répercussions professionnelles et sociales

L’alcool "reste" au travail. Même si vous buvez uniquement le soir ou le week-end, ses effets peuvent vous suivre jusque dans vos tâches professionnelles :

  • Moins de concentration

  • Fatigue persistante

  • Erreurs, oublis, conflits

Dans certains secteurs (santé, transport, BTP), les conséquences peuvent être graves : mise en danger d’autrui, sanctions, perte de poste.

💡 25% des arrêts maladie sont liés à un usage excessif d’alcool, selon l’Assurance Maladie. Cela coûte près de 15 milliards d’euros par an à la collectivité.

4.4 Le risque d'accoutumance augmente avec l’habitude

Quand l’alcool devient une "routine", même modérée, le corps s’adapte. Il développe une tolérance… ce qui pousse à boire plus. Et plus on boit, plus l’alcool reste longtemps dans l’organisme, plus les effets secondaires s’accumulent :

  • Risque hépatique

  • Risques cardio-vasculaires

  • Risque de dépendance physique et psychologique

On ne devient pas dépendant du jour au lendemain, mais on le devient toujours sans s’en rendre compte. Et ce phénomène est favorisé par l’ignorance des vrais délais d’élimination.

4.5 Un impact invisible mais profond sur la santé publique

L’alcool est responsable de plus de 41 000 décès par an en France (source : Santé publique France), soit près de 7% des décès toutes causes confondues. Et pourtant, il reste banalisé.

Les raisons ?

  • La culture festive

  • La pression sociale

  • La méconnaissance des effets à long terme

⚠️ La lenteur d’élimination de l’alcool est au cœur de ce paradoxe : on pense que ses effets sont passés, alors qu’ils continuent à agir silencieusement.

Conclusion de cette partie : l’alcool reste dans le corps bien plus longtemps qu’on ne le croit, et ce simple fait a des répercussions collectives majeures. Comprendre cela, c’est déjà faire un premier pas vers une consommation plus consciente… ou vers un accompagnement si nécessaire.

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Reprendre le contrôle : pourquoi se faire accompagner change tout

Vous l’avez compris : l’alcool ne quitte pas votre corps en un claquement de doigts. Et ce délai prolongé, souvent méconnu, peut affecter votre vie bien au-delà d’un simple mal de tête. Mais alors, que faire quand on veut changer sa relation à l’alcool, sans se couper du monde, sans pression, et à son rythme ?

C’est là qu’intervient une solution concrète, accessible et discrète : l’application mobile Option Zéro.

5.1 Pourquoi ce n’est pas qu’un problème individuel

Beaucoup de gens pensent que leur consommation d’alcool n’est "pas si grave". Pourtant, les données montrent que plus de 5 millions de Français dépassent régulièrement les repères de consommation à moindre risque (source : Santé publique France).

Et ce n’est pas forcément une addiction sévère. Ça peut être :

  • Un verre tous les soirs pour "se détendre"

  • Des excès ponctuels mais fréquents

  • Une difficulté à dire non en société

  • Un manque de repères concrets sur ce qui est raisonnable ou non

💡 Le vrai problème, c’est la répétition. Et l’absence d’outils pour visualiser sa consommation sur le long terme.

5.2 L’importance du suivi personnalisé

Ce que vous ne mesurez pas, vous ne pouvez pas le changer. L’application Option Zéro vous aide à faire le point, simplement, sans jugement.

🧩 Voici ce que vous pouvez faire avec elle :

  • Évaluer votre consommation en quelques questions

  • Suivre vos habitudes semaine après semaine

  • Fixer des objectifs réalistes (réduction, pauses, arrêt total…)

  • Recevoir des conseils et du contenu adapté à votre profil

Trois écrans de smartphone affichant l'application Option Zero

L’alcool reste dans le corps, mais il reste aussi dans l’esprit. Et pouvoir poser un regard lucide, assisté d’un outil neutre et bienveillant, change profondément la donne.

5.3 Pourquoi faire appel à un outil spécialisé plutôt que de "faire seul" ?

Faire seul, c’est souvent l’objectif au départ. Mais sans repères concrets ni système de soutien, il est très facile de :

  • Revenir à ses anciennes habitudes

  • Minimiser les signaux d’alerte

  • Oublier ses engagements à soi-même

Option Zéro n’est pas un coach moralisateur. C’est un compagnon discret, qui vous guide avec bienveillance. Il n’impose rien. Il vous donne des clés, des chiffres, des tendances. Et c’est vous qui restez aux commandes.

💬 Témoignage utilisateur : "J’ai réduit ma consommation sans culpabilité, juste en prenant conscience de mes pics hebdos. L’app m’a ouvert les yeux. Je dors mieux, je conduis plus sereinement. Et surtout, je me sens libre."

5.4 Une approche moderne, compatible avec votre vie

Option Zéro, c’est :

  • Gratuit à l’inscription, avec un accès immédiat aux fonctions de base

  • 100% confidentiel : vos données sont protégées et ne sont jamais partagées

  • Sans obligation : vous avancez à votre rythme, selon vos propres objectifs

💡 Contrairement aux dispositifs traditionnels parfois perçus comme lourds ou stigmatisants, cette application vous accompagne dans la vraie vie, sans rupture avec votre quotidien.

5.5 Reprendre le contrôle, ça commence ici

Le corps élimine l’alcool lentement. Mais vous pouvez commencer à reprendre le contrôle dès aujourd’hui. Et parfois, une simple prise de conscience suffit à enclencher un changement durable.

Si vous avez lu jusqu’ici, c’est probablement que vous vous posez des questions. Et c’est déjà une excellente nouvelle. Car cette lucidité, vous pouvez maintenant la transformer en action concrète.

Option Zéro est là pour vous accompagner. Téléchargez l’app, explorez ses fonctionnalités, essayez pendant quelques jours. Et voyez par vous-même l’impact qu’un bon outil peut avoir sur votre quotidien.

Conclusion de cette partie : Vous n’avez pas besoin d’être "au fond du trou" pour vouloir changer. Et vous n’avez pas besoin d’être seul. Avec Option Zéro, vous avancez pas à pas, sans pression, vers une relation plus saine avec l’alcool.

Horloge mécontente à côté d'une bouteille de vin et d'un verre rempli.

Conclusion : L’alcool ne disparaît pas si vite qu’on le pense

Combien de temps l’alcool reste-t-il dans le corps ? Vous avez maintenant la réponse. Et cette réponse va bien au-delà d’un chiffre. Car ce temps dépend de vous, de votre corps, de votre rythme de vie, de vos choix. Et il impacte bien plus que votre taux d’alcoolémie : il touche votre santé, votre sécurité, votre quotidien.

💡 Ce que l’on croyait anodin peut, en réalité, cacher une accumulation de risques silencieux.

👉 L’alcool peut être détecté pendant plusieurs heures, voire jours, dans le sang, l’urine, les cheveux.

👉 Ses effets cognitifs, eux, peuvent durer plus longtemps que vous ne le pensez.

👉 Et son impact sur votre sommeil, votre énergie, vos décisions, votre bien-être est réel.

Mais surtout, vous n’êtes pas impuissant. Vous pouvez choisir de reprendre la main. Pas en arrêtant tout d’un coup. Pas en coupant vos liens sociaux. Mais en adoptant un regard éclairé, des outils fiables et un soutien adapté.

Avec Option Zéro, vous bénéficiez d’un accompagnement à votre mesure. Pour suivre, comprendre et ajuster votre consommation, sans jugement, sans injonction. Juste avec lucidité.

Et si tout commençait maintenant ?

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FAQ

Est-ce que boire de l’eau accélère l’élimination de l’alcool ?

Non, l’eau ne "dilue" pas l’alcool dans le sang. Elle aide à rester hydraté et à limiter certains effets secondaires comme la gueule de bois, mais n’accélère pas l’élimination par le foie.

Oui, surtout si vous avez bu de grandes quantités d’alcool la veille. Le foie met entre 1h30 et 2h pour éliminer un verre standard. Faites le calcul : 6 verres = environ 12 heures pour être totalement sobre.

Malheureusement non. Seulement 5 à 10 % de l’alcool est éliminé par la transpiration ou la respiration. L’immense majorité est traitée par le foie, à son rythme.

Non. Vous pouvez vous sentir lucide tout en étant encore sous l’effet de l’alcool. Le jugement est justement altéré par l’éthanol, ce qui rend ce ressenti peu fiable.

Dès que vous vous posez la question. Il n’y a pas besoin d’attendre d’être en danger. Option Zéro est justement conçu pour vous aider à anticiper, à comprendre et à ajuster sans culpabiliser.